lundi 26 octobre 2015

19999 km et des poussières

Nous continuons notre descente vers le sud de la Chine à travers les paysages vallonnés du Yunan.
Au mois de janvier dernier, nous avons célébrés nos 10 000 km le long de la côte sud de la mer noire en Turquie à coté d'une poubelle.
Cette année pour nos 19 999 km nous avons du freiner à deux mains dans un virage au milieu de la jungle.
Nous n'avons toujours pas réussi à user nos pneus et nous ne sommes toujours pas pressés de rentrer.
Nous allons donc continuer en direction du Laos afin de découvrir d'autres horizons.



Et combien d'autres pour atteindre notre point de départ


L'incroyable Jet  sans qui la Chine n'aurait pas été aussi facile à découvrir





jeudi 8 octobre 2015

Le Yunan de Chengdu à Zhaotong

Ca y est nous sommes redescendus des hauts plateaux du Sichuan pour rejoindre le Yunan et ses vertes montagnes
la  carte du blog "ou sommes nous " est à jour....

  
ils ont même copiés les pêcheries de Pornic


j'ai enfin trouvé un démonte pneu de poche


ici pas de toilettes à la Turque mais de véritables WC chinois


Nettoyage du gingembre 



Ici tout le monde fume même les volailles



ce papier, fabriqué à partir de bambou, est destiné a être brûlé comme offrande dans les cultes bouddhistes, c'est moins cher que de bruler de vrais billets de banque et ça marche pareil.





un de nos bivouacs près d'une maison abandonnée. Il faut dire que dans la région les terrains plats dégagés se font rares.





de nombreuses rivières sont quadrillées par des systèmes de filets qui conduisent les poissons vers des nasses, mais comme cela ne suffit pas on pratique à grande échelle la pisciculture.




on ne peut pas laisser Brigitte cinq minutes toute seule sans qu'elle provoque un attroupement ;-) 



vive le sport en plein air à la montagne








les superstitions ont la vie dure et le long des routes il n'est pas rare de trouver de magnifiques petits temples beaucoup plus intéressants que certains sites touristiques artificiels et surpeuplés 




 


les chinois ont souvent au premier abord une attitude fermée, mais un seul sourire suffit à les dérider









quand on vous dit que c'est humide


ce matin là, le propriétaire de la maison, ou nous avions passé la nuit, nous a aussi prêté sa cuisine pour préparer nos nouilles pour le petit déjeuner












cette nuit là on avait demandé à camper sur le toit et on a finit par dormir à l'intérieur.
on ne le dira jamais assez, mais les gents sont incroyables dans leur capacité à ouvrir leur maison pour nous héberger









rien ne nous arrête, même quand la route disparait on trouve toujours une solution.
c'est juste un peu moins rapide.....


mais on finit toujours par voir le bout du tunnel


faut juste regarder ou on pose nos roues


Franchement je trouve qu'on voyage assez léger