mercredi 9 décembre 2015

Retour au Laos à la poursuite du Mekong

Nous voici à nouveau "seuls" autour du.....

Nous avons quitté nos deux petits jeunes pour les laisser retourner cotiser pour nos retraites 

Depuis notre départ de Chiang Rai les paysages changent peu à peu. Nous partons au sud est afin de rejoindre la frontière, ouverte aux touristes, avec le Laos car ce n'est pas comme en Europe, certains points de passages ne sont possibles que pour les locaux. 

Toujours à la recherche d'un coin calme pour passer la nuit, nous nous sommes de nouveau dirigés vers un temple où une splendide pelouse n'attendait que nous.

Aussitôt trouvé, aussitôt installé !

A vrai dire cela ne posa aucun problème car, en fin de compte, il n'y avait qu'un seul moine un peu esseulé.

 Il a du se sentir un peu moins seul puisque nous étions là.







Ca ne vaut pas la vue depuis le labo de Jean-Jacques et Katia, mais bon, on fait avec que qu'on trouve au réveil 

 Une fois la frontière franchie, il ne nous restait  plus qu'à passer le Mekong

Le pont n'étant pas fini, nous serons dans les derniers utilisateurs de ces bacs qui termineront à la ferraille dans quelques mois. 


Une fois de l'autre coté, nous avons hésité à continuer en camion. Mais nous avons préféré rejoindre Pak Beng en vélo... .on se demande encore pourquoi ...
 et de nous laisser flotter une journée sur le Mekong pour rejoindre Luang Prabang




Après avoir essuyé plusieurs refus d'embarquement sur des navires de transport de marchandises...




Nous avons même envisagé une descente en hydrospeed avec nos sacoches étanches ....



mais nous avons dû nous résoudre à prendre un banal bateau de croisière ....


Peu après notre départ, nous seront doublés par un pilote de speed boat digne de figurer dans Mad Max 


Cette partie du fleuve est quasiment toujours navigable sauf pendant les période de crue à la saison des pluies.


Attiré par l'odeur Fred est allé faire un tour dans la cambuse

mais vu la taille de la friture, il a préféré laisser manger l'équipage




Le balisage est quasiment inexistant et malgré les nombreux ecceuilles les naufrages sont assez rares. 

 Tout au long de la journée, nous ferons de courtes escales pour prendre des passagers dans ces villages qui ne sont reliés que par voie fluviale.





Une des rares marques de navigation qui subsiste depuis l'indépendance du pays, car depuis, plus personne ne se soucie de l'entretien.

Vous pouvez aussi remarquer le tronc d'arbre au sommet du rocher qui peut vous donner une idée du niveau maximum des crues à la saison des pluies !!

L'avantage, c'est de laisser de larges bancs de sable qui servent à la pêche ou aux cultures.



En se rapprochant de Luang Prabang, on retrouve les navettes touristiques qui font le tour des curiosités locales.
 

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